Dans leur film événement, polémique « À Contresens » :
Diffusé sur internet ce 4 novembre 2020 : Marc Muller et Jonas Schneiter, (Deux journalistes-producteurs Suisses), ils publient une étude, menée durant deux ans, sur le terrain dans les mines du Congo, les salars du Chili et dans une usine de recyclage des batteries en Belgique. Ils nous dénoncent : un certain nombre de « contre-vérités ». De « Fake news » concernant l’empreinte écologique réelle des véhicules électriques, diffusées par certains Médias.
Dans leur film, ils nous affirment :
- Qu’ils n’ont pas trouvé de trace de terres rares dans les batteries de voitures (métaux nécessitant une grande quantité d’énergie pour leur extraction) ;
- Qu’aucun enfant ne travaillait dans les mines de cobalt du Congo, même s’il y a des problèmes, comme partout ;
- Sur l’extraction du Lithium au Chili : « Le fait est qu’aucune étude ne prouve que ces pompages sont nuisibles à l’environnement, mais aucune ne démontre le contraire non plus »
Nous (Think Tank CAR-USE), par manque d’informations nous ne pouvons pas prendre position entre Fake News #oupas. Mais nous souhaitons entamer avec vous une réflexion sur l’empreinte écologique réelle des voitures électriques. Ou sur ce que vous pensez sur cette polémique.
La polémique :
J’avoue avoir été personnellement très interloqué quand j’ai lu (rapidement) quelque part : que le nouveau Hammer H3 V8 Alpha (hybride), polluait moins qu’une Prius hybride ! D’après Général Motors la production du H3 s’avère moins gourmande en énergie que sa « rivale » japonaise : la production à grande échelle du Hummer avec des matériaux simples et solides donne au H3 une résistance au temps à toute épreuve, tandis que la Prius nécessite une fabrication bien plus complexe.
La conclusion me semble pour autant quelque peu abusive ! Car dans cette étude, seule la production du véhicule est prise en compte et non pas la consommation d’énergie durant l’usage !
Si vous avez des informations (confirmées) ou simplement un avis personnel sur ce sujet. Merci de nous en faire part au sein de cette réflexion (très importante) sur l’avenir des VE. Afin de pouvoir nous faire, nous-même, et collectivement une opinion et ne pas nous faire « abuser ».
#IndustrieAutomobile #VoituresElectriques #VE
